Redoux
Depuis quelques jours, la température flirte avec les quinze degrés.
Les arbres bourgeonnent, les oiseaux entonnent leurs mélodies de printemps. J’ai
bien écouté ; ils disaient : on se moque de demain, il fait si beau
aujourd’hui que je chante à gorge déployée. Ils n’ont pas de mémoire et n’anticipent
pas. Alors, j’ai décidé pour une fois de suivre leur exemple et de jouir de l’heure
présente. Le soleil me réchauffait, le bleu du ciel me mettait la joie au cœur.
11 janvier 2014
Tu as raison : bucolique vaudra toujours mieux qu'alcoolique.
RépondreSupprimermais qui est donc cet André Rebaz qui m'aime et me comprend?
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