vendredi 10 janvier 2014

Redoux

Depuis quelques jours, la température flirte avec les quinze degrés. Les arbres bourgeonnent, les oiseaux entonnent leurs mélodies de printemps. J’ai bien écouté ; ils disaient : on se moque de demain, il fait si beau aujourd’hui que je chante à gorge déployée. Ils n’ont pas de mémoire et n’anticipent pas. Alors, j’ai décidé pour une fois de suivre leur exemple et de jouir de l’heure présente. Le soleil me réchauffait, le bleu du ciel me mettait la joie au cœur.
11 janvier 2014

3 commentaires:

  1. Tu as raison : bucolique vaudra toujours mieux qu'alcoolique.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. mais qui est donc cet André Rebaz qui m'aime et me comprend?

      Supprimer
  2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

    RépondreSupprimer