C’est-y pas beau comme l’antique ?
vendredi 21 décembre 2012
le chemin de croix
Point n’était besoin d’être grand clerc pour subodorer que
les mois qui suivaient l’élection présidentielle allaient être rudes. Si l’on
ajoute à la situation de faillite de la France depuis quelques années les
mesures démagogiques inévitables d’un gouvernement socialiste, nous devions
bien nous attendre à des moments difficiles, sauf à croire aux miracles. Et de
miracle, on n’en voit pas à l’horizon. Les industries ferment, comme avant,
plus qu’avant. Le nombre de chômeurs progresse régulièrement, le pouvoir d’achat
va diminuant. OK, c’est vrai. Et notre président tient des propos lénifiants.
Devons-nous pour cela regretter d’avoir voté pour lui ? Eh ! Bien, je
ne crois pas. Je m’efforce d’imaginer comment aurait réagi l’histrion qui
habitait l’Elysée il y a quelques mois et j’ai des frissons. Entre deux maux,
choisissons le moindre. Contre vents et mariés, je soutiens Hollande et s’il n’en
reste qu’un, je serai celui-là.
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