lundi 6 janvier 2014

mens sana in corpore sano

L’esprit de l’éducation que m’ont donnée mes parents pouvait, sur ce point, se résumer ainsi : il faut laisser la pratique du sport à ceux qui n’ont rien d’autre. Si je mets un bémol à ce jugement un peu excessif, la mode actuelle d’admiration de look et du muscle me laisse froid. De même, je trouve étrange la pratique des universités américaines qui accueillent les champions sportifs dans un but publicitaire et leur donnent des diplômes peu mérités. Entre la tête et les jambes, je préfère le cerveau.
7 janvier 2014

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