mercredi 19 mars 2014

Jean-Sébastien

J’aime bien Wolfgang Amadeus, mais les motets et autres messes ou passions de Bach me font vibrer : il s’adresse à Dieu avec les mêmes mots, les mêmes accents qu’un homme amoureux. Ich lasse dich nicht, mein Jesu, … Je suis sûr qu’il file le parfait amour depuis trois siècles.
20 mars 2014

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