Rien ne peut remplacer la courbe de ton sein,
Odalisque alanguie, ronde comme une mère ;
Tes appas font rêver, mon ardeur est sans frein.
Il faut que de tes mains tu caresses mon torse
Sans jamais t’arrêter, caresse-moi encore
Méchante
et bestiale, faut-il que je te force
Et
que mon corps en feu fasse vibrer ton corps ?9 avril 2014
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