mardi 8 avril 2014

printemps

Esquisse d’un bonheur trop souvent éphémère,
Rien ne peut remplacer la courbe de ton sein,
Odalisque alanguie, ronde comme une mère ;
Tes appas font rêver, mon ardeur est sans frein.
Il faut que de tes mains tu caresses mon torse
Sans jamais t’arrêter, caresse-moi encore
Méchante et bestiale, faut-il que je te force
Et que mon corps en feu fasse vibrer ton corps ?
9 avril 2014

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