jeudi 10 mai 2012

une amie

une vraie, m'a écrit se réjouir que, tel le Phenix, je renaisse de mes cendres.
Merci à elle. Il est vrai que la commedia dell'arte que nous offrent nes politiciens de tous bords me pousse à sortir de ma torpeur. Devons-nous nous soumettre aux diktats des agences de notation, la Grèce peut-elle survivre à l'Euro, notre abyssale dette nous condamne-t-elle à travailler comme des forçats, nos enfants et petits-enfants aussi?
Vous en conviendrez, le suspense est haletant. On a hâte d'être plus vieux de dix ou quinze ans pour connaître les réponses.
Il n'empêche que je me rappelle un mien neveu, d'un conservatisme irréprochable, qui me disait que la meilleurs aide au tiers monde, c'était la globalisation, mais que nous allions le payer. C'était il y a dix ans et je rends hommage à sa sagacité. Il faudra bientôt que, pour permettre aux chinois d'avoir l'eau courante, je sacrifie ma septième Ferrari!

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